par Maya Ravéreau
Comme il était trop fatigué pour voyager loin de chez lui, je l’ai moi-même représenté cette fois pour deux événements en Algérie. Le premier se déroulait à l’initiative de la revue Madinati, à l’occasion de la sortie d’un numéro consacré à l’architecture saharienne (N°04), dans les écoles d’architecture de Tlemcen et d’Oran. Puis, à partir du 30 septembre, je participais au tournage d’un film documentaire dédié à son œuvre . Le 5 octobre, je retournais à Marseille pour assister à une réunion sur un projet d’exposition espérée pour le centenaire de sa naissance en 2019. Le 7 octobre se déroulait l’Assemblée Générale d’ALADAR , Association Les Amis D’André Ravéreau, créée en 2012 pour diffuser largement les enseignements de ce grand architecte. À l’occasion des assemblées générales, chaque année André concoctait une conférence originale .
À mon arrivée en France, j’ai appris l’hospitalisation de mon père. Il avait fait une chute la veille, on soupçonnait…