par Saddek BENKADA
Socio-Historien
Cette contribution n’a pas pour ambition d’approfondir une question qui, de toute évidence, relève de prime abord de la compétence des historiens de l’architecture, notamment de l’architecture ottomane en Algérie. Notre seul souci à travers cet article est d’attirer l’attention des archéologues et des architectes sur l’intérêt qu’il pourrait y avoir à s’intéresser, d’un peu plus près, aux inscriptions commémoratives des monuments de l’époque ottomane comme source privilégiée pour le relevé des noms d’architectes,