par Catherine SAYEN[1]
Urbaniste,
Présidente de l’association Les Pierres Sauvages de Belcastel
LE CONTEXTE HISTORIQUE DE L’INTERVENTION DE F. POUILLON
Au jour dit, Fernand Pouillon livre aux autorités algériennes un édifice qu’elles n’attendaient plus, mais dont elles avaient tant besoin pour les festivités du vingtième anniversaire de l’Indépendance le 5 juillet 1982 : l’emblématique hôtel Saint-George, rebaptisé pour l’occasion El Djazaïr, agrandi et restauré en état de splendeur.